Wednesday, April 28, 2021

LA PAROLE ET LES MEDIA

 

 

SUR TA PAROLE     MINNEAPOLIS MN USA    Ven 14.07.50

11.    Alors, un ministre de Houston, au Texas, m’avait défié sur le caractère scripturaire de la guérison divine, telle qu’enseignée dans la Bible, aujourd’hui. Je n’oserais pas… je n’ai rien à dire là-dessus, pas du tout.

Et là… ils… évidemment, on me garde à l’écart dans une pièce, car je dois rester seul et prier toute la journée. Sinon, je n’ai pas de visions. Je ne vois pas ce qui va arriver.

Et alors, ce jour-là, j’étais en prière. Et les rapporteurs des nouvelles, les journalistes… Je ne parle pas aux journalistes ; ce sont mes organisateurs qui leur parlent, aux journalistes, aux magazines et autres. Et alors… Non pas que j’aie quelque chose contre eux, c’est seulement que je passe mon temps avec Lui, s’il me faut rencontrer Son peuple.

 

CONFLIT ENTRE DIEU ET SATAN     CLARKSVILLE IN USA    Jeu 31.05.62

128.  C’était si frappant lorsque... L’autre jour, je lisais pendant que j’étais là, l’analyse de Chicago, de New York, de Los Angeles, de Birmingham et–et beaucoup d’autres grandes villes importantes, au sujet de ce club... ou plutôt des clubs sociaux où les gens se sont unis au point que familles après familles, dans les quartiers, ils ont adhéré à ce club. Et ils vont à un certain lieu de réunion, prennent leurs clefs et les jettent dans un chapeau; une femme tend la main et prend une clef qui est celle du mari qu’elle aura jusqu’à leur prochaine réunion. Ça, ce sont nos femmes américaines.

 

FILS DE DAVID, AIE PITIE DE MOI     LONG BEACH  CA USA    Mer 15.02.61

26.    « Et alors elle a dit à son mari : ‘Selle un mulet, et pars maintenant, a-t-elle dit au serviteur, et ne t’arrête pas. Si quelqu’un te salue, ne lui réponds pas, mais va directement jusqu’auprès de l’homme de Dieu, au mont Carmel.’ » « Eh bien, a-t-il dit, eh bien, a dit son mari, ce n’est ni nouvelle lune ni sabbat, par conséquent l’homme de Dieu ne sera pas là.’ » « Elle a dit : ‘Tout va bien.’ » J’aime cela, quand vous vous emparez vraiment de la foi, accrochez-vous-y. C’est une bonne leçon maintenant pour vous tous, les petits Bartimées. Suivez. « Et elle a donc dit : ‘Pars ! Ne t’arrête pas pour des appels sociaux et autres. Pars simplement ! Continue d’avancer. Ne t’arrête que si je te l’ordonne.’ Et naturellement, quand il a approché du mont Carmel, quand le prophète... » Vous savez, Dieu ne révèle pas tout à Ses prophètes. Nous le savons tous. Il ne révèle à Ses prophètes que ce qu’Il veut que ces derniers sachent.

 

NOUS VOUDRIONS VOIR JESUS     DALLAS TX USA    Jeu 12.06.58

31…Si l’église pouvait être si intéressée à amener Christ aux gens au lieu de trop de commérages sociaux et des histoires… Parler de tel credo et de tel autre credo. Il n’a même pas pris le temps de converser avec lui. Il avait quelque chose de plus important. Il a dit : « Viens voir Qui nous avons trouvé, Jésus de Nazareth, le Fils de Joseph. »

 

LE SIGNE DU MESSIE     NEW HAVEN CT USA    Mer 28.05.58

24.    Et si l’église est autant ravie au sujet de Christ, quelque chose va se produire. Mais nous avons toutes sortes d’événements sociaux et tout. Il n’est pas étonnant que nous soyons en train de mourir. Certainement. Et nous nous inquiétons que la Russie vienne ici et fasse… Ne vous en faites pas pour cela. Ce n’est pas le rouge-gorge qui picore la pomme qui la détruit, c’est le ver qui est dans le trognon qui la tue. C’est notre propre pourriture, parmi nous, qui est en train de nous tuer.

 

 JESUS-CHRIST EST LE MEME HIER, AUJOURD’HUI ET ETERNELLEMENT     SIOUX FALLS SD USA    Sam 25.02.56

14.    Je n’aimerais jamais être trouvé un hypocrite ; je n’aimerais jamais être trouvé un séducteur. Je préférerais rester chez moi avec ma femme et mes enfants ce soir, travaillant comme garde forestier dans l’Indiana, mon ancien travail, regagner donc cela, plutôt qu’être ici, si je cherchais à séduire les gens. En effet, je saurais que, peu importe ce que je ferais donc, au bout du chemin, je serais rejeté. A quoi cela me servirait-il donc de le faire ?

Et tout le monde sait que je ne prends pas de l’argent, et je ne suis pas–je ne suis pas… Vous savez que j’évite les gens assez pour m’abstenir de la popularité, et je–je n’ai pas du tout de motifs d’être ici, ce soir, pas du tout, si ce n’est pour une seule chose : vous aider à trouver Jésus-Christ, l’unique Bien. Dieu le sait.

 

AVOIR SOIF DE LA VIE     CHICAGO IL USA    Dim 30.06.57

22.    Quel est le problème aujourd’hui ? Nous avons tellement de chaires faibles qui ont peur de prêcher un enfer perpétuel brûlant, et de mettre les gens en garde contre ces choses, et qui laissent l’église aller d’une manière aussi paresseuse et relâchée que possible. Et j’ai dit : « Chérie, par où pourrions-nous commencer ? » Notre nation est corrompue. Notre politique est pourrie au possible. Nos industries et notre économie sont pourries au possible. Même l’industrie automobile, il vous faut six ou huit mois pour débarrasser votre voiture de tous les défauts [de fabrication]. C’est à la chaîne, l’assemblage se fait à la chaîne, et c’est mis ensemble, quelle différence cela fait-il ?

Notre féminité est brisée. La maternité de l’Amérique est ruinée. La moralité est aussi corrompue que dans n’importe quelle nation qui existe au monde. Quel est le problème ? C’est parce que les gens ont aimé les choses du monde plus qu’ils n’ont aimé Dieu, et ils se sont pervertis. C’est l’exacte vérité.

Pas seulement cela, mais nos églises ont fait faillite. Nous avons de pauvres petits prédicateurs efféminés à la chaire, qui se tiennent là dans… Je ne critique pas certains. Mais ils se tiennent là, et pour eux c’est un gagne-pain. C’est juste une offrande, ou pour se faire une popularité en passant à la télévision ou à la radio. Je ne vendrais jamais mon droit d’aînesse de Jésus-Christ pour la télévision et la popularité qu’il y a dans le monde. Non, non. La Vie vaut plus que ces vilaines choses impies. Je préférerais trouver grâce aux yeux de Christ plutôt que d’être le président du monde. Oh ! Quelle condition que celle dans laquelle le monde se trouve !

 

ETRE PERSEVERANT     SOUTH GATE  CA USA    Sam 23.06.62

118.  Qu’ai-je à faire ici ce soir ? Pourquoi–pourquoi ne suis-je pas chez moi ? Pourquoi ne suis-je pas là sur les collines avec ma canne à pêche quelque part ? Au lieu d’être ici comme un séducteur et aller rencontrer Dieu là-bas au Jugement ? Pas moi. J’irai faire la pêche, j’irai d’abord faire la chasse, et aller rencontrer Dieu en paix. Se tenir ici avec un séducteur… Ce n’est pas la popularité. Vous savez que j’évite cela. Je n’ai pas de grands programmes, et je ne demande pas de l’argent aux gens, et–et toutes ces sortes d’affaires. Je n’ai jamais de ma vie prélevé une offrande. Je garde mes réunions à un niveau tel que je peux aller partout où Dieu m’envoie. Et si c’est–peu importe si c’est à Tombouctou, ou quel que soit l’endroit. S’Il veut que je prêche à cinq cents mille personnes comme à Bombay, Il m’enverra carrément là-bas. Quelqu’un d’autre parrainera cela. Si je veux me rendre là où il y a juste quatre ou cinq personnes, je ne suis pas obligé d’avoir de l’argent. Je veux être là où Dieu peut m’utiliser. Et chacun de nous ici… ?... aimerait être là où Dieu veut nous utiliser. Voyez-vous ?

 

 ABRAHAM     BROOKLYN NY USA    Sam 08.12.56

73…Je garde mes réunions modestes et comme cela, je me garde d’avoir même de grandes réunions et de grandes choses. Je n’ai pas de radio, pas de télévision. Je laisse simplement cela tel quel. Voyez ? En effet, je–je–je n’aimerais pas passer pour quelque chose dans le tableau du monde. J’aimerais être le serviteur de Dieu pour dire ce qu’Il m’ordonne de dire. Voyez ? Et dire ce qu’Il me dit de dire, de sorte que quand j’arriverai là ce jour-là, j’aimerais L’entendre dire : « C’était bien. » C’est–c’est ce que j’aimerais entendre. C’est pour cela que je vis. Si ce n’était pas cela, je ne laisserais pas mes petits enfants et tout assis là ce soir en train de me réclamer à cris. Voyez ? Je resterais là avec eux. Je suis ici pour essayer d’aider quelqu’un d’autre pour la gloire de Dieu.

 

LA REINE DU MIDI     GREENVILLE SC USA    Ven 20.06.58

9.      Combien pensez-vous qu’il faut à Oral Roberts par jour ? La dernière fois que j’ai entendu parler de lui, c’était sept mille dollars, je pense que c’est autour de dix maintenant, dix mille dollars par jour. Combien pensez-vous qu’il faut à Billy Graham chaque jour ? D’après une estimation que j’ai entendue une fois, c’est vingt-cinq mille dollars par minute, je pense que c’était pour la télévision ; pour sa radio, il faut beaucoup d’argent. Mais je garde mes réunions modestes ; je n’ai jamais cherché à en avoir de grandes, ou un très grand programme tel qu’il me faut demander de l’argent aux gens. Quand cela en arrivera là, je fermerai la Bible, je retournerai à mon tabernacle. Voyez-vous ? Je ne dois jamais faire cela ; que Dieu me garde de le faire. Je n’ai jamais eu de grands programmes, je peux donc aller à une église de dix personnes et y tenir un réveil. Ou si le Seigneur veut que je prêche à cent mille personnes, Il enverra quelqu’un qui en supportera les frais, pour que j’aille prêcher à cent mille personnes. C’est donc ainsi que nous vivons. Je ne suis donc pas obligé d’avoir l’argent. C’est simplement très modeste.

 

AVOIR SOIF DE LA VIE     LOS ANGELES  CA USA    Mar 14.04.59

5.      Et mon ministère est plus prospère outre-mer. Mais je n’aimerais pas aller là demander aux gens de me payer le voyage et tout. Je vais ici, et juste ce que les gens me donnent, je l’épargne, tout ce que je peux, jusqu’à en avoir assez pour y aller ; alors, je peux moi-même payer le voyage avec l’argent des Américains, pour aller auprès de ces pauvres gens qui n’ont pas suffisamment de quoi manger. Je connais ce soir des missionnaires qui prêchent l’Evangile dans les jungles et qui prennent deux repas par semaine, qui n’ont pas de souliers aux pieds. Eh bien, comment pouvez-vous vous attendre à ce que moi, je vive dans le luxe alors qu’on consent de tels sacrifices ? Eh bien, ils se tiendront au jour du Jugement et nous condamneront pour ce que nous avons et que nous aurions dû cependant partager.

Je garde mes réunions simples, comme vous le voyez. Je n’ai pas d’émissions radiophoniques ni d’émissions télévisées, rien de grandiose. Je–je les garde simples, ainsi, je peux utiliser chaque sou que je peux pour les–les champs missionnaires, faire tout mon possible. Mes dépenses sont passablement élevées.

 

ETRE PERSEVERANT     SOUTH GATE  CA USA    Sam 23.06.62

118.  Qu’ai-je à faire ici ce soir ? Pourquoi–pourquoi ne suis-je pas chez moi ? Pourquoi ne suis-je pas là sur les collines avec ma canne à pêche quelque part ? Au lieu d’être ici comme un séducteur et aller rencontrer Dieu là-bas au Jugement ? Pas moi. J’irai faire la pêche, j’irai d’abord faire la chasse, et aller rencontrer Dieu en paix. Se tenir ici avec un séducteur… Ce n’est pas la popularité. Vous savez que j’évite cela. Je n’ai pas de grands programmes, et je ne demande pas de l’argent aux gens, et–et toutes ces sortes d’affaires. Je n’ai jamais de ma vie prélevé une offrande. Je garde mes réunions à un niveau tel que je peux aller partout où Dieu m’envoie. Et si c’est–peu importe si c’est à Tombouctou, ou quel que soit l’endroit. S’Il veut que je prêche à cinq cents mille personnes comme à Bombay, Il m’enverra carrément là-bas. Quelqu’un d’autre parrainera cela. Si je veux me rendre là où il y a juste quatre ou cinq personnes, je ne suis pas obligé d’avoir de l’argent. Je veux être là où Dieu peut m’utiliser. Et chacun de nous ici… ?... aimerait être là où Dieu veut nous utiliser. Voyez-vous ?

 

JEHOVAH-JIRE     BROOKLYN NY USA    Dim 09.12.56S

3.      Et puis, si j’avais une grande émission à la radio et une très grande émission à la télévision, cela coûterait des milliers de dollars chaque jour pour les réaliser. Eh bien, comment alors pourrais-je venir chez frère Hutchins et son église là ? On ne le pourrait pas. Et de toute façon, tous ses membres ont des besoins ; vous avez besoin de chaque sou sur lequel vous pouvez mettre la main. Et–et si j’ai de bonnes émissions à la télévision et à la radio et autres, chose que j’apprécie, mais je cherche à garder mes réunions modestes de sorte que je puisse visiter des églises et avoir des amis parmi vous et avoir ce genre de communion.

Et de toute façon, je pense qu’on a prélevé une offrande d’amour pour moi. J’apprécie certainement cela. Je–je n’ai jamais prélevé une offrande d’amour de ma vie. Jamais je… Quand j’étais un ministre baptiste, je travaillais tout le temps comme garde-chasse de l’Etat d’Indiana, et je supportais ma famille. Et je n’avais jamais pris un seul sou, et je n’avais jamais accepté une offrande jusqu’à ce que j’aie commencé ceci et que j’aie arrêté de travailler. J’ai eu à faire cela. J’aime travailler. Ainsi donc, je travaille de mes mains pour subvenir à mes besoins.

 

JEHOVAH-JIRE     CLEVELAND TN USA    Dim 06.01.57

4.      Maintenant, je crois que le Seigneur va vous bénir. Eh bien, le ministre n’a pas voulu, frère Littlefield n’a pas voulu se taire là-dessus. Il a dit : « Frère Branham, vous avez des dépenses à couvrir. Et nous apprécions cela, mais il faut que cela vous soit remis. » Alors j’ai accepté cela au Nom du Seigneur. J’en ignore encore le montant. Je pourrais vous le communiquer dès que j’en aurai eu connaissance. Et nous informerons le pasteur lorsqu’il aura compté l’offrande, Et je vous assurerai qu’au mieux de ma connaissance, chaque centime sera dépensé pour ce qui est juste, car je sais que c’est une partie de votre vie.

Eh bien, j’ai trois enfants et une femme, et un bureau à faire fonctionner, d’où j’envoie des milliers de lettres par mois dans le monde entier. Et mes dépenses me coûtent près de cent dollars par jour, que je sois dans les réunions ou pas. Et ainsi… Et maintenant, j’ai dit que j’essayerai… Je n’ai pas de radio, je n’ai pas d’émissions télévisées, et des choses qui demandent beaucoup d’argent. Je garde la chose très petite, afin de pouvoir visiter de petites églises où, les frères qui ont un plus grand ministère, ne peuvent pas aller. Ils ne pourraient pas se permettre cela.

 

SOYEZ CERTAINS DE DIEU     CLEVELAND TN USA    Mer 08.07.59S

7.      Et maintenant, si vous désirez avoir un linge sur lequel on a prié, écrivez-moi tout simplement à Jeffersonville, Indiana, et je recevrai cela. Eh bien, je ne cherche pas à obtenir votre adresse, car je n’ai aucun programme à soutenir. Je n’ai jamais permis que mes réunions en arrivent à un point où il me faut avoir des milliers de dollars. Je n’ai pas besoin d’avoir quoi que ce soit. La seule chose qu’il me faut, c’est juste davantage de Dieu.

Et puis, mes dépenses… Je m’entretenais avec frère Roberts il n’y a pas longtemps, je pense que ses dépenses s’élèvent autour de dix mille dollars par jour. Je pense que pour Billy Graham c’était vingt-huit mille dollars par… pour quelques minutes de son émission radiodiffusée et de sa télévision et ainsi de suite, partout à travers le monde. Que ferais-je si je devais faire–prélever autant d’argent ? Cela fait trente ans que je prêche. Je n’ai jamais de ma vie prélevé une offrande. Je ne permets pas que mes réunions en arrivent là. Je les garde tout simplement humbles, au point où je peux aller dans une toute petite église de quatre ou cinq personnes, où partout où le Seigneur m’appellera.

Ma seule préoccupation est de vous aider. Si vous avez besoin d’un linge sur lequel j’ai prié, écrivez tout simplement à Jeffersonville, et je vous l’enverrai gratuitement. C’est gratuit. Je pourrais dire ceci : la pluie ne sera pas trop forte et la nuit ne sera pas trop sombre pour que je ne sois pas heureux d’offrir la prière pour vous à tout moment que je le peux, ou pour faire quelque chose pour vous aider. Ma prière est que le Seigneur vous bénisse.

 

QUESTIONS ET REPONSES     JEFFERSONVILLE IN USA    Dim 27.05.62

23.    Je ne réponds pas aux questions en dehors des réunions. J’ai essayé cela une fois et j’ai eu des ennuis. Les gens m’ont mal compris. C’était au sujet de M. Allen ou plutôt de la présence de sang et d’huile et tout dans les mains et sur la figure, comme étant l’évidence du Saint-Esprit. J’ai dit : «Eh bien, je n’en sais rien, ai-je dit, je n’ai jamais rien vu de tel dans les Ecritures.» J’ai dit : «Mais je–je pense que j’avais–je pourrais prêcher comme cela, frère, et que je ne me baserais pas sur les sensations. Je ne prêche que l’Evangile», et je suis parti.

24.    Les gens, dans le monde entier ont écrit des lettres, disant : «Cher frère Branham...», cela s’était donc répandu partout. Et ils avaient simplement mal compris la chose. Et nous leur avons envoyé des bandes pour qu’ils les jouent et comprennent que je ... Ils disaient que je condamnais l’homme. Je–je ne l’avais pas fait. Je n’ai jamais condamné un frère. Des fois, je peux être en désaccord avec quelqu’un, mais c’est fait d’une façon amicale.

 

C’EST LA VIE QUI GUERIT     INDIANAPOLIS IN USA    Mar 11.06.57

77.    Ah ! Frère Wood! Comment… Tout est en ordre? Vous avez eu tout le monde là-bas? Très bien, faites alors monter votre première personne. Oh! je suis désolé, madame. Je n’avais…?…

Oh! c’est–c’est un peu difficile quand on prêche. Je ne sais pas… Vous êtes un auditoire si aimable et il y a une si grande présence de l’Esprit du Seigneur. Il est tout simplement difficile de rester loin de cela. D’habitude, pendant nos campagnes, ce sont les organisateurs qui prêchent. Je viens droit de ma chambre, où personne ne me parle, même pendant la journée, je passe droit à la chaire, sous l’onction, j’appelle la ligne de prière et je commence la réunion.

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